Dans les audios que nous avons par devers nous, le sieur Amadou Sy (sur l'image), au bout du fil, fait comprendre à la dame D. B. qu’il reconnait sa responsabilité morale dans le triste acte d’escroquerie, mais en même temps, semble n’avoir rien à ne se reprocher ; puisque le sieur Mame Goor Diaw et lui ont plusieurs fois collaboré dans le cadre de transactions qui n’ont jamais souffert d’aucune anomalie. Mame Goor Diaw c’est le prétendu concessionnaire établi aux USA et que le sieur Amadou a mis en relation avec D.B. pour l’achat d’un véhicule.
Amadou Sy et D. B. se connaissaient déjà très bien et ont régulièrement entretenu de bonnes et loyales relations fondées sur une affection mutuelle. D’ailleurs, D.B. renseigne qu’elle a toujours traité Amadou Sy comme son frère et que donc c’est un total sentiment de confiance qui l’a tout naturellement animée lorsque son " frère " lui a certifié qu’il connaissait quelqu’un capable de leur trouver rapidement la marque de voiture ciblée.
Il faut préciser qu’en vérité D.B. n’est pas le principal acquéreur de la voiture en question. C’est plutôt une de ses amies qui lui avait exprimé son intention de se payer un véhicule. Et c’est ainsi que pour lui éviter les tracasseries liées à ce genre de transaction, elle avait décidé de l’aider en s’adressant à son « frère » Amadou, dont elle connaissait le talent en la matière.
Contrairement à la promesse qu’ils lui avaient faite de lui faire parvenir la voiture dans les meilleurs délais, de longs jours sont passés, et jusque-là pas de voiture. Ainsi, il se trouve que, comme souvent ça se passe lorsqu’une anomalie vient gripper la mécanique de la transaction, la future propriétaire du véhicule fictif a commencé à montrer de sérieux signes de soupçon de complicité entre la dame D. B. et la bande des deux escrocs, Amadou et Mame Goor Diaw. Ainsi, pour prouver son innocence en voie d’être entachée, D.B. a finalement décidé de crever l’abcès en dévoilant l’affaire dans les médias.
Avant d’en arriver à cette extrémité, évidemment, D.B. a fait preuve d’une grande patience. Mais, à mesure qu’elle avançait dans ses plans de résolution du problème, elle se rendait compte qu’elle avait affaire avec de véritables as de l’escroquerie. Le sieur Amath, dont elle a toujours apprécié la courtoisie et la bonhomie, a finalement laissé s’afficher sa véritable nature, c’est-à-dire celle d’un fourbe, d’un scélérat, d’un planificateur hors pair en matière d’abus de confiance. Derrière ses airs de " Boy Town " ayant réussi à accéder à un certain standing de vie à la seule sueur de son front, se cache un trompeur brutal, un pitoyable partisan du moindre effort qui croit fermement pouvoir dribbler tout le monde et tout le temps.
N'ayant pas des mots donc : ce type, avec ses repoussants acolytes de la trempe de Mame Goor Diaw, incarne la pire version de l’homo senegalensis. Il fait partie de la race de nos concitoyens sans vergogne qui, depuis le pays de l’oncle Sam, se nourrissent du sang et de la transpiration de leurs vaillants et dignes compatriotes restés au pays pour trimer.
L’homme mérite d’autant plus d’être dénoncé avec la dernière énergie qu’il affiche une insolence insoutenable envers sa dernière victime, la jeune D. B. En effet, en exploitant les audios de leurs derniers échanges, on peut l’entendre s’exprimer de manière toute désinvolte et blasée, avec les airs de quelqu’un dont on vient déranger la quiétude pour des broutilles. Pire encore, le bonhomme s’est permis de narguer subrepticement sa victime en lui faisant comprendre que son acolyte n’a aucunement peur de s’exposer aux commentaires foudroyants d’Adamo et qu’il pouvait même lui passer le numéro du célèbre influenceur.
Autant d’actes provocateurs laissent penser que cette bande d’escrocs bénéficie d’une solide protection qui ne risque jamais de leur faire défaut.
A charge donc pour nos nouvelles autorités soucieuses de droiture et de légalité de barrer la route à ces types infâmes qui incarnent l’indignité à des niveaux vertigineux. Car c’est là aussi un sacré acte de salubrité morale qui contribuerait indiscutablement à renforcer le bel éclat patriotique qu’elles veulent donner au " Projet ".
njaydakarposte@gmail.com
Amadou Sy et D. B. se connaissaient déjà très bien et ont régulièrement entretenu de bonnes et loyales relations fondées sur une affection mutuelle. D’ailleurs, D.B. renseigne qu’elle a toujours traité Amadou Sy comme son frère et que donc c’est un total sentiment de confiance qui l’a tout naturellement animée lorsque son " frère " lui a certifié qu’il connaissait quelqu’un capable de leur trouver rapidement la marque de voiture ciblée.
Il faut préciser qu’en vérité D.B. n’est pas le principal acquéreur de la voiture en question. C’est plutôt une de ses amies qui lui avait exprimé son intention de se payer un véhicule. Et c’est ainsi que pour lui éviter les tracasseries liées à ce genre de transaction, elle avait décidé de l’aider en s’adressant à son « frère » Amadou, dont elle connaissait le talent en la matière.
Contrairement à la promesse qu’ils lui avaient faite de lui faire parvenir la voiture dans les meilleurs délais, de longs jours sont passés, et jusque-là pas de voiture. Ainsi, il se trouve que, comme souvent ça se passe lorsqu’une anomalie vient gripper la mécanique de la transaction, la future propriétaire du véhicule fictif a commencé à montrer de sérieux signes de soupçon de complicité entre la dame D. B. et la bande des deux escrocs, Amadou et Mame Goor Diaw. Ainsi, pour prouver son innocence en voie d’être entachée, D.B. a finalement décidé de crever l’abcès en dévoilant l’affaire dans les médias.
Avant d’en arriver à cette extrémité, évidemment, D.B. a fait preuve d’une grande patience. Mais, à mesure qu’elle avançait dans ses plans de résolution du problème, elle se rendait compte qu’elle avait affaire avec de véritables as de l’escroquerie. Le sieur Amath, dont elle a toujours apprécié la courtoisie et la bonhomie, a finalement laissé s’afficher sa véritable nature, c’est-à-dire celle d’un fourbe, d’un scélérat, d’un planificateur hors pair en matière d’abus de confiance. Derrière ses airs de " Boy Town " ayant réussi à accéder à un certain standing de vie à la seule sueur de son front, se cache un trompeur brutal, un pitoyable partisan du moindre effort qui croit fermement pouvoir dribbler tout le monde et tout le temps.
N'ayant pas des mots donc : ce type, avec ses repoussants acolytes de la trempe de Mame Goor Diaw, incarne la pire version de l’homo senegalensis. Il fait partie de la race de nos concitoyens sans vergogne qui, depuis le pays de l’oncle Sam, se nourrissent du sang et de la transpiration de leurs vaillants et dignes compatriotes restés au pays pour trimer.
L’homme mérite d’autant plus d’être dénoncé avec la dernière énergie qu’il affiche une insolence insoutenable envers sa dernière victime, la jeune D. B. En effet, en exploitant les audios de leurs derniers échanges, on peut l’entendre s’exprimer de manière toute désinvolte et blasée, avec les airs de quelqu’un dont on vient déranger la quiétude pour des broutilles. Pire encore, le bonhomme s’est permis de narguer subrepticement sa victime en lui faisant comprendre que son acolyte n’a aucunement peur de s’exposer aux commentaires foudroyants d’Adamo et qu’il pouvait même lui passer le numéro du célèbre influenceur.
Autant d’actes provocateurs laissent penser que cette bande d’escrocs bénéficie d’une solide protection qui ne risque jamais de leur faire défaut.
A charge donc pour nos nouvelles autorités soucieuses de droiture et de légalité de barrer la route à ces types infâmes qui incarnent l’indignité à des niveaux vertigineux. Car c’est là aussi un sacré acte de salubrité morale qui contribuerait indiscutablement à renforcer le bel éclat patriotique qu’elles veulent donner au " Projet ".
njaydakarposte@gmail.com
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